Antipode MJC présente :
SAMEDI 26 MARS – COMPLET
20h30 – Sortir ! : 4€ / Membres : 10€ / Plein tarif : 14€
Lorsque l’Antipode MJC laisse les clés à GABLE à l’occasion de la sortie de leur dernier opus, le trio s’en donne à cœur joie :
GABLE (France)
Définir GABLE relève du casse-tête tant le trio Caenais s’amuse à mélanger et à triturer des influences qui vont de l’électronica à la folk en passant par le punk! Des morceaux le plus souvent très courts, des instruments qui peuvent aller de la perceuse jusqu’à l’aspirateur. Rentrer dans l’univers de GABLE, c’est automatiquement se laisser séduire par l’inventivité et l’énergie incroyable qui s’en dégage.
MARVIN (France)
Une noise puissante teintée de punk, de krautrock, d’incursions métal et de synthés vintage. Ce cocktail à la fois explosif et hypnotique prend toute sa dimension sur scène. Vous voilà prévenus, MARVIN ne fait pas dans la dentelle mais plutôt dans la haute couture et n’attendent plus que vous pour en découdre.
CHEVEU (France)
Prenez un guitariste rock’n’roll, un homme-clavier impassible et un hurleur en pleine crise d’hystérie. Secouez le tout et vous obtenez CHEVEU, trio inclassable mêlant l’électro, le rock garage et le hip hop comme personne. Leur dernière production, Mille fait déjà parti des grands albums de l’année 2011. Originale et atypique, à l’image de cette soirée.
PNEU (France)
Duo batterie – guitare(ou basse), les tourangeaux ne tournent pas autour du pot et assènent avec délectation un math-rock sauvage joué dans l’urgence. Vivre l’instant présent à 100 à l’heure comme si la fin du monde était pour demain, tel pourrait être le credo de PNEU.
GREGALDUR (France)
On dit de GREGALDUR qu’il est un homme orchestre, c’est vrai. Seul? Pas tout à fait tant les innombrables pédales d’effets qu’il triture sont ses meilleurs amis. On dit aussi qu’il est un enfant désobéissant, c’est également vrai. Entre noise et pop décalée, il ne laisse pas indifférent.
LE SINGE BLANC (France)
Classé LE SINGE BLANC dans la case math-rock serait sacrément réducteur. L’originalité de cette formation (deux basses, une batterie) est de constamment expérimenter. Le chant, fait principalement d’onomatopées et de délires étranges se met au service d’une musique où les bouleversement sont constants pour ne jamais laisser à l’auditoire le soin de se reposer.